La guerre préhistorique : un entretien avec Nota Bene
Disponible dès à présent en accès libre sur sa chaîne Twitch :
Et si la vidéo intégrée ne fonctionne pas, voici le lien : https://www.twitch.tv/videos/2153811243.
blog de Christophe Darmangeat
anthropologie sociale, préhistoire et marxisme
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Merci !
RépondreSupprimerLe lien vers la vidéo (le player intégré ne fonctionne pas): https://www.twitch.tv/videos/2153811243
RépondreSupprimerChez moi cela fonctionne parfaitement... une question de navigateur ? Au cas où, je rajoute le lien dans le billet.
SupprimerBonjour,
SupprimerNous donnerez vous l'adresse de la video du colloque TOULOUSAIN ? L'affiche et ce que vous en avez dit met notre patience a rude épreuve.
Un énorme merci pour ces exercices de vulgarisation,
Le sujet traité sur Nota Bene n'est pas nouveau pour ceux qui fréquentent votre site , mais il faut admettre que vous passez formidablement bien à l'oral !
Merci des compliments, cher anonyme ! Bien sûr, les vidéos toulousaines seront relayées ici dès qu'elles seront mises en ligne – on m'a dit que ce serait le cas d'ici la fin de ce mois... (et ce processus ne dépend pas de moi).
SupprimerPassionnant!
RépondreSupprimerUne remarque concernant la guerre des Abos australiens en parallelle aux populations paléolithiques:
Il y a une différence essentielle à mon avis est que les premiers sont sédentaires alors que les paléolithiques en période glaciaire étaient soit complètement nomade, soit semi nomades.
La grande différence est que les premiers étant sédentaires et sont donc "propriétaires" de leur territoire, alors que il est très probable que les seconds n'avaient pas de propriété foncière.
Jean-Loup Ringot
Bonjour
SupprimerJe ne vois pas bien en quoi les Aborigènes australiens seraient sédentaires. Ils sont (étaient) inégalement nomades, mais même les moins mobiles se déplaçaient plusieurs fois par an. Ensuite, il faut faire attention : le nomadisme n'est pas du tout contradictoire avec l'existence de territoires bien spécifiques. Le schéma classique est qu'on nomadise au sein de ses frontières, mais qu'on attaque à vue tout intrus qui les pénètre (et ce n'est pas de la propriété, c'est, si l'on veut, un droit politique). Même si les réseaux sont plus souples lorsque les conditions environnementales sont défavorables, cela reste tout de même une tendance très forte, attestée par tous les témoignages ethnologiques.
Au passage, on est justement frappé par le fait que chez les Aborigènes (et chez les autres chasseurs-cueilleurs documentés) les conflits meurtriers ne portaient que très rarement sur les ressources (terrirtoires ou biens meubles).